Produits de santé défectueux

Coupe-faim (Isoméride, Mediator), Dépakine, Androcur, Rupture de cathéter, ...

Qu'est-ce qu'un produit de santé ?

Dans le code de la Santé Publique, il est question de produits à finalité sanitaire destinés à l’homme, plus communément nommés produits de santé.
Il s’agit principalement :

  • des médicaments
  • des dispositifs médicaux
  • des produits sanguins

Qu'est-ce qu'un défaut d'un produit de santé ?

Le défaut du produit de santé peut être un défaut de fabrication, un défaut d’évaluation des risques (le médicament s’avère dangereux pour la santé), un défaut d’information (le produit doit informer les patients des effets indésirables dans la notice, et les professionnels par le biais du Vidal).

Un produit de santé est défectueux dès lors qu’il n’offre pas la sécurité à laquelle on peut légitimement s’attendre ; peu importe qu’il ait été fabriqué dans les règles de l’art et qu’il ait reçu une autorisation de mise sur le marché.

Des avocats spécialisés et expérimentés dans l’aide aux victimes de dommages corporels graves causés par un produit de santé défectueux

Victime d'un produit de santé, comment agir ?

Si vous avez été victime d’un dommage en lien avec un produit de santé, il conviendra de prouver :

  • le défaut du produit,
  • le dommage subi,
  • le lien de causalité entre le défaut du produit et le dommage.

La plupart du temps, il sera nécessaire d’avoir recours à une expertise médicale car le défaut du produit doit être démontré à l’aide de données scientifiques.

Spécialisés dans les contentieux concernant les principaux scandales sanitaires des dernières années (MEDIATOR, ISOMERIDE, DEPAKINE, ANDROCUR, PILULE, GARDASIL, vaccination, … etc.), nous vous conseillerons sur les différentes procédures possibles, et nous vous accompagnerons à tous les stades du processus amiable ou judiciaire.

Nous mettrons tout en œuvre pour vous permettre d’obtenir le statut de victime, identifier les responsables, afin de les voir condamner à vous verser une indemnisation à la hauteur de vos préjudices.

Défense des victimes de complications graves causées par un produit de santé défectueux

Victimes de complications suite à la prise de Mediator

Valvulopathie et hypertension artérielle pulmonaire

À ce jour, nous défendons 2500 victimes du Mediator ainsi que l’AVIM, l’Association d’Aide aux Victimes de l’Isoméride et du Mediator.

Ce médicament de la famille des amphétamines est resté commercialisé en France pendant plus de 30 ans (1976 à 2009).

La France sera l’un des derniers pays à le retirer malgré plusieurs cas rapportés de valvulopathie et un retrait effectif dans plusieurs pays (Espagne, Grèce, Italie, Luxembourg, Suisse) depuis quelques années.

Victimes d'un handicap lourd suite à la prise de Dépakine

Traitement de l'épilepsie et des troubles bipolaires

À ce jour, nous défendons 45 victimes de la Dépakine ainsi que leur famille.

Depuis le 1er juillet 2017, les victimes de la Dépakine (valproate de sodium) peuvent désormais être indemnisées suite à l’entrée en vigueur d’un fonds d’indemnisation.

Les experts recensent, à ce jour, plus de 30.000 enfants exposés in utero au valproate de sodium.

Victimes de méningiomes suite à la prise d'Androcur ou d'un générique

Traitement de certaines pathologies hormonales

À ce jour, nous défendons 35 victimes de l’Androcur.

La prise d’Androcur ou un de ses génériques (acétate de cyprotérone) est lié à un augmentation significative du risque de développer une tumeur du cerveau (méningiome).

Le médicament Androcur faisait déjà l’objet d’une surveillance particulière depuis 2009.

Victimes de complications suite à la prise d'Isoméride

Médicament coupe faim, anorexigène

L’Isoméride, médicament coupe faim des années 80 a été commercialisé pendant plusieurs années par les Laboratoires Servier.

Cet anorexigène de la famille des amphétamines a été retiré du marché en 1997, après la mise en évidence suite à son absorption de plusieurs cas d’hypertension artérielle pulmonaire.

Victimes de complications suite à la prise d'une pilule contraceptive

Défense des victimes des pilules 3G et 4G, et Diane 35

À ce jour, nous défendons 350 victimes de la pilule, ainsi que l’AVEP, l’Association de Victimes d’Embolie Pulmonaire et d’AVC en lien avec la prise d’un contraceptif hormonal.

La plupart des pilules associent deux types d’hormones identiques à celles produites par la femme : l’œstrogène et la progestérone. La pilule remplace le cycle naturel de la femme par un cycle artificiel.

Les pilules de 3ème et 4ème génération exposent à un sur-risque de phlébite, d’embolie pulmonaire et d’AVC, en comparaison avec les pilules de 1ère et 2ème génération, sans aucun avantage en termes de tolérance clinique.

Victimes de complications graves en lien avec la vaccination Gardasil

Défense des victimes de pathologies graves et invalidantes

À ce jour, nous défendons 150 victimes du Gardasil.

Disponible en France depuis novembre 2006, le vaccin Gardasil est indiqué pour la prévention du cancer du col de l’utérus et des verrues génitales.

Plusieurs jeunes filles ayant été vaccinées avec le Gardasil ont présentés dans les suites des pathologies graves et invalidantes, telles que des maladies auto-immunes dont la sclérose en plaques, des pathologies du système nerveux central, un syndrome de Guillain-barré, … etc.

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Nous sommes à votre écoute. Notre équipe de juristes et d’avocats expérimentés vous aidera dans la constitution de votre dossier (médical et juridique) et défendra vos intérêts devant les différentes cours de justice saisies.

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